lundi 7 juillet 2025

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Les conditions d’abattage restent horribles, abominables même, ce qui est d’autant plus injustifiable que nous ne consommons plus de chair humaine.

 

Suis-je vraiment le seul à avoir deviné qu’un petit garçon courait sur le sable au fond de l’océan, déroulant le fil de nylon au bout duquel vole la raie manta ? Il n’y a pourtant aucune autre explication possible.

 

C’est toujours pareil, la fin gâche tout.