Les conditions d’abattage restent horribles, abominables même, ce qui est d’autant plus injustifiable que nous ne consommons plus de chair humaine.
Suis-je
vraiment le seul à avoir deviné qu’un petit garçon courait sur le sable au fond
de l’océan, déroulant le fil de nylon au bout duquel vole la raie manta ?
Il n’y a pourtant aucune autre explication possible.
C’est
toujours pareil, la fin gâche tout.