J’aime observer les allées et venues des passants dans les rues, comme ils flânent ou vaquent, indolents ou résolus, comme se croisent leurs trajectoires, sans heurt le plus souvent, chaque poisson dans sa rivière, et je me demande quand, comment et pourquoi va cependant germer dans l’une ou l’autre de ces têtes l’idée puis le projet de la guerre.
Ses notes dissonantes
me vrillent les tympans. Nul à la flûte, mais virtuose à la sarbacane.
Les deux gestes les
plus rapides, résolus et maîtrisés de ma main : signer et raturer.
Faudrait savoir.