Je me suis procuré une toile vierge et un châssis du XVe siècle. Scrupuleusement, j’ai cherché les pigments, les huiles, les fixateurs, les pinceaux et les brosses en usage à Milan à l’époque de la Renaissance. Il ne me reste plus qu’à devenir Léonard de Vinci.
Montant et descendant à
vive allure, l’escalier est violemment entré en collision avec lui-même, de là
ce lamentable aspect d’épave en accordéon.
Mais jamais la queue de
poisson de la daurade ne précipite le chalutier sur les récifs.