Menacé par les bêtes féroces, sans protection contre les rigueurs du climat, le premier homme a dû mettre au point en catastrophe des méthodes de survie en milieu hostile. L’énergie du désespoir est le principe de toute l’aventure humaine. Mais cette énergie-là aussi s’épuise et je ne suis pas sûr que l’éolien soit la solution.
Quand on tombe de
cheval, il faut remonter à vélo tout de suite : ça ne s’oublie pas.
L’écrivain doit se
confronter au réel, c’est le mot d’ordre. Mais voici que ma phrase
chauve-souris s’essore et virevolte sous la lune en évitant tous les obstacles.
Ma foi, je la laisse faire.