Ici, la pluie n’est pas composée d’eau, du moins pas essentiellement (il y en a quand même un peu). Le vent est un bloc d’air immobile. Certains lavabos sont comestibles, et même savoureux, mais pas tous, il y en a aussi de vénéneux, on se renseignera donc avant pour ne pas avaler n’importe quoi.
Ce qui surprend aussi, c’est la prolifération des alligators dans les rues de Tokyo. Les habitants se déplacent sur des échasses pour éviter leurs cruelles morsures.
(Il me faut peut-être préciser que, craignant de n’avoir guère le temps de prendre des notes durant mon séjour japonais, j’ai écrit la plupart de ces considérations avant mon voyage.)