Plus bas, dans la vallée, au fond d’un jardin, j’avise une roulotte ancienne qui évoque aussi bien gitans et bohémiens des époques révolues que les troupes de comédiens ambulants qui battaient les estrades sur les places de village. Elle a quitté les chemins vicinaux pour ce gazon bourgeois.
Elle
doit être à présent une pittoresque chambre d’amis. Une jardinière aussi, car
elle a été flanquée de balconnets fleuris. Les larmes viennent toutes seules.
Et l’on n’a qu’une envie, s’arracher de là. Foutre le camp.
Tailler
la route !