Or le miroir que j’avais si aisément traversé pour accéder au jardin enchanté était accroché à un mur contre lequel je me brisai le nez.
– Un café pour moi et une écuelle d’eau pour le
chien si c’est possible ?
– Bien sûr, monsieur.
– Et une tonne de fourrage pour mon
troupeau ?
L’enfant comprend bientôt que la vie ne sera
pas une partie de plaisir. Ou bien la petite cuillère serait pour la soupe et
la grande pour la crème.