C’est ainsi qu’a presque disparu la figure si joviale du guichetier. Comme je regrette ces échanges chaleureux de part et d’autre de sa vitre, ces confidences susurrées à travers l’hygiaphone, ces longs face-à-face auxquels nous nous arrachions si douloureusement au bout de deux heures pour nous en retourner chercher un document manquant ! On aura beau dire, jamais l’automatisation ou les services en ligne ne remplaceront le contact humain.
Il suffirait pourtant
d’écrire alcol avec un seul o pour cesser de voir double par sa
faute.
Je lui ai dit à
toute en la quittant, elle m’a répondu à plus et j’ai compris que
j’allais devoir ramer.