Du fait de ce nez épaté par les coups reçus au cours de leur carrière, il est très difficile d’introduire deux doigts dans les narines des boxeurs poids-lourds. Il faudrait en tout cas disposer d’un peu plus de temps qu’ordinairement ils ne nous en laissent.
Le couloir se jette
dans les chiottes.
Blotti-blotti sous l’édredon, ma mâchoire et mes genoux se cognent. Il faudrait pour plus de
confort se débarrasser maintenant du bonhomme.