Si je persiste à m’en tamponner le coquillard plutôt que de m’en battre les couilles comme tout le monde, ce n’est pas tant par nostalgie d’une langue plus relevée y compris dans le registre argotique, je l’avoue, mais parce que ça fait moins mal.
Quand le feu a consumé
la mèche, le renard explose.
Ça existe vraiment, les
sapiosexuelles ? Je suis un peu surpris parce qu’enfin, je le saurais,
non ? non ?
[Et donc, nous nous retrouvons
ce
soir à 20h à la Maison de la poésie pour la dernière étape de l’année du Marathon
autofictif de Christophe Brault]