mercredi 11 décembre 2024

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Si je persiste à m’en tamponner le coquillard plutôt que de m’en battre les couilles comme tout le monde, ce n’est pas tant par nostalgie d’une langue plus relevée y compris dans le registre argotique, je l’avoue, mais parce que ça fait moins mal.

 

Quand le feu a consumé la mèche, le renard explose.

 

Ça existe vraiment, les sapiosexuelles ? Je suis un peu surpris parce qu’enfin, je le saurais, non ? non ?

 

[Et donc, nous nous retrouvons ce soir à 20h à la Maison de la poésie pour la dernière étape de l’année du Marathon autofictif de Christophe Brault]