Je préfère aussi ne pas non plus.
Après avoir relaté une
promenade heureuse en compagnie de sa sœur la mieux aimée, Kafka évoque non
sans tristesse et amertume son soulagement, pourtant, à l’instant où ils se
sont séparés, lorsqu’il s’est retrouvé seul, enfin, dans la morne paix de la
solitude, n’ayant plus à faire acte de présence. Eh bien, en cela, et qu’il me
soit permis de me rengorger : je suis l’égal de Kafka. Peut-être même un
peu meilleur.
Vous me dites que c’est
une magnifique montagne qui se découpe à l’horizon et non une contrariété
qui s’annonce ? Mm…