lundi 29 juillet 2024

5602

L'Atlantique enfin. Tant se languissait de moi depuis mon départ en avril que, me dit-on, il n’a cessé de me chercher sur les plages de l’île où se brisaient ses vagues une à une, lamentablement, irrémédiablement. Ça va aller mieux maintenant. Je suis là.

 

Seul son pubis est épilé. Pour le reste, une très hirsute oursonne. Or, après quelques instants de désarroi, l’ordre nouveau s’impose et l’émotion renaît.

 

Le poisson est dans l’épuisette, mais pas l’eau pour le court-bouillon, problème, car la faim tenaille.