C’est un petit restaurant de plein air réputé pour son menu bourguignon. Mais le vent a saupoudré les tables de sable du Sahara et, allez comprendre, j’ai soudain envie d’un couscous.
Il a mis fin à ses
jours. Ne lui sont restées que ses nuits raboutées – une bonne tranche de
sommeil.
C’est mal connaître le
bélier. Il défonce la porte pour sortir.