Un joueur de tennis professionnel du circuit se nomme Nagal. Plutôt bon, d’ailleurs, 93e au classement ATP, mais je pense à lui avec un peu de compassion, comme au 93e écrivain français, vous savez, l’infortuné Chevillarg.
Ne serait-il pas plus
sage d’emprisonner plutôt tous ceux qui n’ont encore tué personne ?
Et donc il y aurait une
nappe de pétrole sous les arpents de solitude et de silence desquels je rêve
d’exproprier mon voisin ermite ? Vous me l’apprenez !
[Reparution de Chiens écrasés dans une édition magnifique de Laetitia Bianchi (éditions Mexico)]