Le recoin où je me pelotonne dans le café, aussi loin que possible de cette autre habituée dont j’ai appris à redouter la voix tonitruante et le débit intarissable, du fait du zigzag imprévisible des sons entre les cloisons, se trouve constituer une chambre d’écho où me parvient, amplifié à l’extrême, le bavardage de la dame et mieux même que si elle hurlait dans mon oreille. Il y aurait bien le pôle Nord, mais n’y serais-je pas poursuivi encore par cette voix ricochant de glacier en glacier ?
Il a considérablement
réduit son budget cadeaux depuis qu’il a appris à emballer les sucres.
C’est un jeune chêne
tout fin, tristesse... je ne vivrai pas assez longtemps pour en fouiller les tiroirs.