dimanche 31 mars 2024

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De toute façon, nous sommes bien obligés de prendre le taureau par les cornes, il n’a pas de pis !

 

Vieil écrivain, j’ai mes ruses et mes stratagèmes. Ainsi, souvent, je noue le fil de l’écriture aux deux extrémités de mon crayon et j’obtiens – écoutez – un petit trapèze pour le rossignol.

 

Son plongeoir s’effondre et la vague fait un plat.

 

[Prochaine étape du Marathon autofictif de Christophe Brault (qui attaque la cinquième année, 2011-2012), mercredi 3 avril à 20 h à la Maison de la poésie. Réservation recommandée.]