Depuis que la présence d’un coordinateur d’intimité est exigée sur les tournages des films pornographiques, bien des choses naguère assez gênantes, pour ne pas dire malaisantes, ont changé dans ces productions.
Il est apparu, par
exemple, que les nombreuses scènes de coucheries n’étaient nullement
nécessaires au bon déroulé de l’intrigue. Désormais, acteurs et actrices
restent vêtus et devisent de musique ou de peinture autour d’un thé.
Bien sûr, il serait
regrettable que les adolescents qui visionnent ces images en cachette au risque
de développer des complexes, inhibitions ou manières inappropriées dans leurs
propres ébats, en viennent à croire que la sexualité adulte bien comprise
ressemble dans la réalité à ces éblouissantes acrobaties verbales.