L’allergologue consulta les résultats de mes analyses et me regarda avec perplexité. Je ne tolérais plus rien. Mais il n’eut pas le temps de me livrer son diagnostic. Déjà, j’avais saisi le presse-papiers sur son bureau et fracassé le crâne de cet exaspérant personnage.
Saurons-nous finalement
ce que l’eau fuyait ?
Tant de rides qu’il n’a
qu’à choisir parmi elles le sourire ou la grimace qui exprimera le mieux son
humeur. Récompensés pour les efforts de toute une vie, les muscles de son
visage peuvent enfin se reposer.