J’apprécierais qu’un espace soit laissé libre sur les rayons pour marquer la place des livres que j’ai renoncé à écrire. La bibliothèque d’un lettré ne saurait totalement ignorer ce vide, ce manque. Il y a là un gouffre qu’il serait de toute façon pertinent de signaler. Nous ne parlons plus là de littérature, pardon, mais de sécurité publique.
La féminisation des
noms de métier ne suffit pas toujours à modifier le réel. Ainsi le harponneur
devient-il la harpiste. Malédiction ! Faudra-t-il donc toujours que la
femme demeure douce et sensible ?
(Tout de même, tout de
même, l’amante religieuse crucifie le mâle après copulation !)