Deux ouvrages parus, le premier en 1999 – Empailler le toréador. L’incongru dans la littérature de Charles Nodier à Eric Chevillard, par Pierre Jourde –, le second en 2017 – La pseudonymie dans la littérature française de François Rabelais à Eric Chevillard, par un collectif d’universitaires – initièrent un fructueux courant de recherches littéraires qui, on peut le déplorer, et on ne s’en privera pas, semble marquer un peu le pas aujourd’hui.
C’est ainsi que l’on
attend toujours Le Bestiaire satirique d’Aristophane à Eric Chevillard, Métamorphoses
d’Ovide à Chevillard (en passant rapidement par Kafka), Modalités de l’enfer
de Dante à Chevillard, La vraie vie en songe de Quichotte à
Ronce-Rose, L’Otobio de Jean-Jacques à Eric, Outrances comiques
de Gustave Flaubert à Eric Chevillard, Comme le temps passe de Marcel
Proust à Eric Chevillard…
Ce ne sont là que quelques pistes et il faudra en suivre beaucoup d’autres pour sillonner un tel champ de recherche. C’est pourquoi je suggère que l’on s’y attelle sans tarder.