Contrairement à la plupart des oiseaux, le perroquet se reconnaît dans le miroir. Il comprend tout de suite qu’il s’agit bien de lui en train de s’imiter.
Des mathématiques
nostalgiques ? Des mathématiques colériques ? Des mathématiques
amoureuses ? Inimaginable. Et pourtant, les mathématiques ne sont pas
imperméables à l’émotion et je me flatte moi-même d’avoir su leur inspirer de
la honte et du désespoir.
Pour être bien certain
de passer inaperçu, il faudrait pouvoir – mais cette opportunité se présente
trop rarement – se tapir derrière un tapir.