Si las quelquefois qu’il me suffit de regarder un jeune homme plein d’allant, d’énergie, d’enthousiasme et d’ambition pour – sans qu’il comprenne seulement ce qui lui arrive ni pourquoi soudain il s’affaisse – éteindre d’un coup toute cette ardeur.
La vague t’abrite de la
vague, avant de se briser sur toi.
Il n’est que d’imaginer
les grands primates, le gorille ou l’orang-outan, affublés de nos accessoires –
palmes, cravate, boucles d’oreilles, sac banane, casquette, bas résille… – pour
comprendre à quel point, seul parmi les créatures, l’homme est devenu ridicule.