Romancier, c’est un métier et, pour ce qui me concerne, l’heure de la retraite approche. Écrivain, c’est une autre paire de manches, cousues sur moi depuis les épaules jusqu’aux poignets, enfilées une bonne fois avec ma peau de pauvre mortel. Il faudra mourir dedans.
Tempérament
météorologique. La vitre est mon miroir. Il pleut, je fais la gueule.
Viol en réunion. Tous les
hommes soudain se sont jetés sur toutes les femmes !