Je lave ma vaisselle dans le lavabo et mes pieds dans l’évier. Ce non-conformisme domestique brise l’asphyxiante routine et réintroduit dans mes journées le risque et l’aventure. Si seulement je possédais un bidet… !
Le presse-purée arrive après
la bataille.
Mais saurai-je
reconstituer le puzzle de ma belle saison à partir des feuilles mortes
éparpillées sur le sol ? se demandait, pensif, l’autobiographe au soir de
sa vie.
[Reprise du Marathon
autofictif de Christophe Brault à la Maison de la Poésie, le samedi 8
octobre à 20h. Réservation recommandée.]