Bien naïfs ceux qui s’imaginent que je vais livrer à un prétendu commanditaire ou tenter de revendre les bijoux que j’ai si adroitement dérobés au Louvre. Telles ne sont pas du tout mes intentions. Je les ai volés pour m’en parer : le diadème de la reine Hortense, le collier d’émeraudes de Marie-Louise, les boucles d’oreille en saphirs de la reine Marie-Amélie et le grand nœud de corsage de l’impératrice Eugénie ! Je vais être magnifique !
La mort ne règle rien, dit-on, mais elle est au
moins une solution de continuité.
J’aime la fossette surtout parce qu’elle accuse
la pommette, et la pommette surtout parce qu’elle creuse la fossette.