Le linge était sec. Une averse brève mais torrentielle le trempe à nouveau sur son fil. Tout est à refaire, or je suis bien fatigué.
Le
rebond imprévisible du ballon de rugby contribue à la beauté fantasque de ce
sport et il me semble, à l’heure où les matchs de tennis opposent de plus en
plus souvent deux robots frappeurs, qu’il pourrait être judicieux de mettre en
jeu des balles ovoïdes.
Comme
je lui passe commande d’une tarte à l’époisses, mon fromager me reprend durement :
– Cela s’appelle, monsieur, une flamiche burgonde ! Je ne veux plus
d’autre sensitivity reader pour mes livres.