Quand l’automobile se substitua à l’hippomobile, le maréchal-ferrant ne prit pas immédiatement acte de ce changement et poursuivit avec acharnement sa besogne. Toutes les voitures en conséquence se retrouvèrent bientôt à l’arrêt, leurs quatre pneus crevés par ses fers. L’écrivain n’incarnerait-il pas aujourd’hui avec une perfection et un zèle qui imposent le respect cet émouvant ringard ?
Quand enfin elle s’éloigne,
la catastrophe croise le petit tracas qui trotte, pressé de revenir.
Il ne faudrait pourtant
pas que la C.P.T.D. (Communauté des Propriétaires de Teckels de Dijon) prenne publiquement le parti de Trump. Parce que si elle met tout son poids dans la balance, il ne
fait guère de doute que c’en sera bien fini des espoirs de Kamala Harris.