Hier, il avait pu inventer encore celle d’une otarie déguisée en écuyère qui arrache trois brins à la queue de son cheval puis les tresse afin de remplacer la ficelle rompue de son bilboquet. Mais, ce matin, sec devant sa page, l’écrivain doit se résoudre à l’admettre, on y est arrivé, cette fois, au moment tant redouté et cependant inévitable où toutes, absolument toutes les histoires ont été racontées.
La zone a été passée au
peigne fin, mais trop tard : on a retrouvé le cadavre tout échevelé.
J’espérais troquer un
service de douze assiettes à escargots contre un taille-haie, on m’a mis à la
porte de ce club échangiste ! Comprends pas. Ça me paraissait un marché honnête.