Très honnêtement, je suis souvent le seul à bosser dans l’open space. Les uns tapent la discute, échangent des anecdotes, d’autres lisent le journal ou caressent leurs téléphones en buvant un thé. Certains même picorent avec les doigts du fromage et de la charcuterie sur une planche ! Je me demande avec un peu d’inquiétude combien de livres vont sortir de nos bureaux cette année.
Encore une campagne
victorieuse pour le général qui imagina de faire porter à ses soldats, en guise
de godillots, des chaussures de bowling.
M’est avis que les
fourmis ne savent pas choisir leurs représentants syndicaux.