On ne laisserait pas une lichette de confiture dans le pot ni une miette de pâté dans la terrine, mais dès qu’il s’agit de racler l’intérieur de sa boîte crânienne afin d’aller vraiment au bout de sa pensée, plus personne.
La vivacité du coati le
dérobe la plupart du temps à nos observations. Réfléchissez : quand en
avez-vous vu un pour la dernière fois ?... Alors ?
Membre ancien des EA
(Écrivains Anonymes), j’entends bien sortir de cette obscurité et devenir un alcoolique
célèbre.