Montres à nos poignets, pendules dans nos salons, réveils sur nos tables de chevet, horloges à nos frontons… partout les aiguilles tournent… et c’est ainsi que le temps file, propulsé par toutes ces hélices.
Il prétend, preuves à
l’appui, que tous les papillons de sa collection se sont fait hara-kiri.
L’écrivain est bien
tranquille. Que lui arracherait-on sous la torture qu’il n’ait confessé si
complaisamment dans ses mémoires ?