Le vigile de ce magasin de sport fait au moins deux mètres. Je renonce au ballon de basket que j’étais venu voler et je sors en me glissant entre ses jambes avec un palet de hockey.
Crashés au pied de
l’arc-en-ciel, les avions de la patrouille de France.
Plusieurs scénarios
possibles pour l’Apocalypse, le plus probable à ce jour restant tout de même
celui de ma seule mort, suffisante pour tout abolir.
[Mercredi 26 juin, 20
h, à la Maison de la poésie, dernière
étape de la saison pour le Marathon autofictif, par Christophe Brault.
Réservation recommandée.]