Gisant contusionné dans la poussière, il regardait le banc vide qui s’était cabré et l’avait si brutalement envoyé valser… J’arrivai alors, et m’assis tranquillement dessus, lançant au bonhomme éberlué en ouvrant mon livre : – C’est mon banc !
L’écrivain est cet énervé qui ne laisse jamais l’encre former tranquillement sa flaque.
Les gens ne fument plus ; ils ne se demandent plus de feu. Les gens ont tous une horloge et un GPS sur leur téléphone ; ils ne se demandent plus l’heure ni le chemin. Cette fois, je crois bien que nous n’avons plus rien à nous dire.
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