Dans la vaste bibliothèque en chêne massif contenant plus de trois mille volumes, un seul livre compte : celui qu’il suffit d’extraire à demi de son rayon pour déclencher l’ouverture de la porte secrète menant au donjon BDSM.
Emporté par la
lecture de la phrase que j’étais en train d’écrire, je me suis violemment
percuté.
Ceux qui portent des bretelles perdent moins
leurs pantalons que le reste de la population, mais leurs cheveux bien
davantage. Nous sommes en droit d’hésiter.