Oisivetés, c’est le titre du livre qu’écrivit Vauban dans ses vieux jours, après avoir bâti un fort ou une citadelle dans chaque ville de France, et auquel fera écho mon futur Branle-bas.
Nu comme ne sait l’être
aucune autre partie du corps, le dos, et cependant toujours vierge.
Plus douée pour grossir
mille fois l’infime contrariété que pour réduire d’autant l’épouvantable
calamité, notre prodigieuse imagination ne serait-elle pas en vérité une humeur
noire, un agent morbide ?