La planète est horriblement réac. Elle refuse d’évoluer avec son temps, maudit les nouvelles technologies, l’urbanisation, le commerce international, le trafic aérien, les méga-chalutiers et l’élevage intensif… Voyez comme elle gronde et se rembrunit, comme elle s’assèche, comme elle se fossilise, et pleure le paradis perdu.
Une fête sans alcool,
sans flirt, sans tabac. Mais le pianiste a joué divinement La Marche funèbre.
J’ai fait construire une
maison identique aux deux bouts de ce chemin suffisamment sinueux pour
m’offrir, d’un seuil à l’autre, mon content d’aventure.