Les réponses étaient là, nous n’avions plus qu’à poser les questions. Les lapins bondissaient et la joie en effet suivait de près. Par surcroît, si l’on se serrait bien les coudes, nos seins se touchaient.
On pouvait saupoudrer un peu tout sur tout.
Certains choisissaient plutôt de napper ceci sur cela ou cela sur ceci. L’un
n’empêchait pas l’autre. Et nous sautions en arrière pour mieux reculer.
Les partisans de l’agrafe remportaient de
sanglantes victoires sur les partisans du trombone. Ces derniers ne savaient
plus où mettre leurs prisonniers. Jetés dans les puits, les chantons
retombaient noyés sur leurs pattes.