Nostalgique des siècles où je ne vivais pas, surtout quand fleurissaient les lilas, j’ai bien hâte aussi de ne pas connaître les siècles où je ne vivrai plus, quand reviendra le soleil après qu’il aura plu.
que fait
dans mon haïku
ce coucou
Vraiment ? Telle serait la part du rire
dans ce brouhaha ? Les deux tiers ? Permettez-moi d’en douter.
[Amis du Japon et de la langue japonaise, je vous invite à visiter le blog d’Hiroko Inada, tout juste ouvert, dans lequel celle-ci publiera des traductions en français de poètes japonais et, parfois aussi, quelques notes de ce journal en japonais. Et pour commencer, celles du 17 décembre 2007.]
