De toute façon, nous sommes bien obligés de prendre le taureau par les cornes, il n’a pas de pis !
Vieil écrivain, j’ai
mes ruses et mes stratagèmes. Ainsi, souvent, je noue le fil de l’écriture aux
deux extrémités de mon crayon et j’obtiens – écoutez – un petit trapèze pour le
rossignol.
Son plongeoir
s’effondre et la vague fait un plat.