Quarante ans après ma première et unique visite, je retourne avec un ami à la maison de Balzac, rue Raynouard. Émotion, car rien n’a changé depuis 1983, on jurerait toujours que le grand homme, qui a vécu dans ces murs jusqu’en 1847, les a quittés il y a 136 années seulement !
Les
yeux pleurent pour un rien. On reconnaît le vrai chagrin à ses larmes de morve.
Il
n’y a jamais de corbillard dans les manèges. C’est nier avec beaucoup d’angélisme
ou de mauvaise foi la terrible réalité de la mortalité infantile.