Il reste toujours quelques pinces à linge dehors, sur le fil, trop vieilles sans doute pour s’essorer et suivre la grande migration hivernale de leurs sœurs vers la buanderie.
Croyant entrer dans les toilettes du restaurant, je pousse la porte de la sortie de secours. Ça fera l’affaire.
L’herbivore et la plante carnivore se retrouvent pour déjeuner.
