Il cherche partout l’unique spécimen du papillon-qui-distrait-de-la-douleur pour le chloroformer et le clouer sur une planche.
L’abeille s’offusque. L’ours se prépare bien
lui-même ses tripes et son tartare, pourquoi ne ferait-il pas son miel ?
Je suis venu avec la peur. La menace et le
danger ont bien été obligés de suivre.
[Et donc, nous nous retrouvons ce
soir à 20 h à la Maison de la poésie pour la quarantième étape du Marathon
autofictif de Christophe Brault]