Non seulement l’individu est assis à ma table habituelle quand j’arrive, mais en plus il surfe sur son portable au lieu d’abattre ma besogne !
Oh, ce serait une
pandémie mondiale… d’extinction de voix ! … et il n’y aurait pas de
remède ! … et il n’y aurait pas de vaccin !
Notre être confisque un
morceau d’espace qui sera, pour lui, un refuge et, pour autrui, un piège. Il
l’aménage avec soin, avec goût, non sans coquetterie. Ce sera un refuge
confortable et un piège attirant. Car nous sommes tous – quoique chacun à sa
façon – des araignées.