Si j’avais le loisir de recommencer ma vie, j’oserais cette fois déclarer ma flamme à Frédégonde, je serais plus entreprenant avec Ysabelot et je saurais moucher ce misérable Clitandre. Mais à quoi bon ressasser mes échecs, c’est si loin tout ça.
La noix de
Saint-Jacques est le fruit à coque percée du noyé.
Ni implants dentaires
ou capillaires, ni prothèses, ni lunettes. Je me débrouille avec le matériel
fourni au départ. À la fin, on changera tout d’un coup. On changera de
bonhomme.