J’ai enfilé de robustes chaussures de marche, empoigné un alpenstock, et je me suis laissé choir sur mon canapé, idéalement équipé pour jouir au maximum de la voluptueuse inactivité de mes quatre membres.
Rien n’est beau comme
l’amour et l’on s’émeut bien sûr de les voir bras dessus bras dessous, il
n’empêche que ces deux tasses sont désormais inutilisables.
Mais n’y aurait-il pas
encore un espoir si l’on confiait plutôt à un pompier le volant du
corbillard ?