Semence saine et féconde ? Sève nourricière reconduisant éternellement le printemps du monde ? À considérer cependant la nouvelle Pompéi récemment mise au jour, toutes ces femmes pétrifiées par des éruptions ravageuses, j’incline à penser que c’est bien plutôt de la lave qui jaillit si continument des bites en activité.
Il faut être inconscient pour écrire son autobiographie. Ne serait-il pas en effet miraculeux de réchapper de nouveau à toutes ces morts déjà évitées de justesse une première fois ?
Pas si vicieux, je reluque la libellule sans un regard pour ses six cuisses nues.