Les petits chocs répétés de la craie sur le tableau, le crissement du crayon d’ardoise, l’odeur des ronéotypies… L’écolier d’aujourd’hui ne saurait se représenter dans quelle ambiance nous traversâmes la Révolution française en 1977. Même le ballon rebondit désormais sur la vitre de la classe sans la briser. La grande Histoire devient bien abstraite, ainsi privée de son contexte.
Est-il un être dans
l’espace pour se désoler d’un nuage qui lui cache soudain la Terre ?
Elle soulevait le monde
mieux que le levier, mieux que la colère. Aujourd’hui, la manivelle ne sert
plus à grand-chose. Je dois être l’un des derniers à l’utiliser encore pour
écrire.