Nous nous sommes assis face à face à la terrasse de ce café, et je lui ai aussitôt proposé d’intervertir nos places afin qu’elle profite de la jolie vue. À mon grand regret, elle a accepté. À ma grande joie, cela n’a rien changé. J’ai gardé la jolie vue.
Polaire et bermuda ou
débardeur et bottes fourrées, c’est la mi-saison.
Le peigne qu’il passe
et repasse inlassablement devant sa glace laisse des traces très nettes dans
ses cheveux blancs. Mon Dieu, c’est bien encore skier un peu…