Certes, les années passant, j’ai dû desserrer ma ceinture d’un cran, puis de deux, puis de trois. En revanche, je boucle mon bracelet-montre aujourd’hui aussi étroitement qu’à vingt ans. Or l’important pour un écrivain n’est-il pas de garder le poignet fin et délié ?
Pour joncher ainsi le
sol, il faut bien que ces feuilles mortes aient été tuées.
Ce coup d’épée dans
l’eau dont tu te moques, c’était pour en tremper l’acier avant de te
pourfendre, maraud !