Il se lève, il pisse,
il avale un café avec un croissant ou une tartine, il se douche, il s’habille,
il sort, à chaque fois ce même modus operandi, et il ne serait pas un
tueur en série ?!
L’onaniste est un homme
comblé. Il fraye avec les sirènes.
Depuis mon banc du
jardin de l’Arquebuse, j’observe l’îlot minuscule au centre du bassin, à quinze
mètres du bord. Il doit être possible d’y vivre de la pêche et de la chasse au
canard. C’est tentant. C’est bien tentant.